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Chaque samedi, Bruno Faure ouvre les grands dossiers de l’actualité économique française, africaine et internationale. Avec les spécialistes du service Économie... Mehr
Chaque samedi, Bruno Faure ouvre les grands dossiers de l’actualité économique française, africaine et internationale. Avec les spécialistes du service Économie... Mehr

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  • Guerre des monnaies: les BRICS à l’assaut du dollar
    Depuis des décennies, le roi dollar règne en maître sur le système monétaire mondial : finance, commerce, remboursement de la dette des États. Mais la devise américaine est aujourd’hui de plus en plus contestée, particulièrement lorsque son cours déstabilise des économies ailleurs sur la planète, et notamment dans les pays les moins développés pénalisés par leur dépendance au billet vert.   La colère monte chez les dirigeants de certaines puissances émergentes qui souhaitent mettre en place un nouvel ordre monétaire. Dans de nombreux pays, la tentation est de plus en plus vive de se tourner vers d’autres monnaies comme le yuan chinois.  Va-t-on vers la fin de l’hégémonie du dollar et plus généralement de la domination monétaire occidentale ? Vers un nouvel ordre monétaire ? Nous assistons à une guerre des monnaies sur fond de guerre tout court en Ukraine ? Quelles autres valeurs pourraient en profiter ? L’euro, l’or ou les cryptomonnaies ? Quelles conséquences pour d’autres monnaies comme le franc CFA ?    NOS INVITÉS :  Vincent Pons, professeur associé à la Harvard Business School, prix du meilleur jeune économiste français 2023  Carl Grékou, économiste au CEPII au sein du programme « Macroéconomie et finance internationales »  Yves Ekoué Amaïzo, économiste togolais, fondateur du think tank Afrocentricity  Avec la participation de Stéphane Lagarde, correspondant de RFI à Pékin (Chine).      NOS REPORTAGES  L’Argentine aimerait pouvoir se passer du dollar dans ses échanges commerciaux. La troisième économie d’Amérique latine négocie actuellement en ce sens avec le Brésil et la Chine, ses deux principaux partenaires commerciaux. Si le manque de dollars n’est pas nouveau en Argentine, il a été aggravé cette année par une sécheresse historique qui a privé le pays de 20 milliards de dollars d’exportations de céréales et de soja. Notre correspondant Théo Conscience a rencontré un entrepreneur argentin pour comprendre les implications de cette pénurie de devises étrangères.    L’hégémonie du dollar est un sujet sensible sur le continent africain où beaucoup de monnaies nationales ont perdu beaucoup de leur valeur. C’est le cas de la livre égyptienne. Reportage de notre correspondante au Caire Alice Moreno.
    26.5.2023
    56:26
  • Jacques Attali: «L’Afrique verra son tour venir»
    Comprendre le passé pour prévoir l’avenir, et surtout dans le présent, agir, protéger, trouver des solutions pour aider les 8 milliards de Terriens. C’est l’objectif que s’est fixé Jacques Attali à la fois économiste, banquier, chef d’entreprise, philanthrope et essayiste. Il est l'invité spécial d'Éco d'ici Éco d'ailleurs. Jacques Attali publie « Le monde, modes d’emploi » (Flammarion), un ouvrage sur l’avenir de la planète et les menaces qui le guettent : conflits armés, crise financière, crise climatique et crise démocratique. Dans cet entretien avec Bruno Faure, il est largement question du devenir de l’Afrique, un continent qui d’après le créateur de l’ONG Action contre la Faim sera bientôt au cœur des décisions mondiales.  Dans cet entretien, Jacques Attali développe également ses thèses sur les relations entre le Nord et le Sud, la montée en puissance de l’Inde, le déclin progressif des États-Unis et les ambitions, selon lui, surévaluées de la Chine. Il est également interrogé sur les questions agricoles, le problème de la dette, la montée en puissance de l’intelligence artificielle, Elon Musk et la réforme des retraites menée en France par Emmanuel Macron.  Avec la participation de Paul Ginies, consultant international en matière d’éducation, de formation et de nouvelles technologies, directeur général d’Eranove Academy à Abidjan (Côte d’Ivoire).  ► Pour aller plus loin : Histoires et avenirs de l'éducation (Flammarion)   Extrait de l'entretien avec Jacques Attali RFI : La guerre en Ukraine se prolonge. Plus d’un an après l’invasion russe, quels sont les enjeux pour le continent africain ?   Jacques Attali : L'Union africaine le dit et le redit, l’un des grands enjeux du continent, c'est de se nourrir, comme pour tout le monde. Toute la difficulté est de construire une agriculture qui soit une occasion de capture du carbone, ce qui est possible. L'efficacité, la productivité agricole, c'est même une grande chance pour l'avenir et il est évident que l'Ukraine, qui produit une partie importante des engrais et une partie importante des productions de céréales du monde, est essentielle pour l'Afrique par l'impact sur les prix que la réduction de la production ukrainienne et russe représente. Donc c'est vital pour l’Afrique qu'il y ait la paix en Europe.  L’Afrique est-elle victime de l’évolution du commerce international ?  Aujourd'hui, l'intégration mondiale commerciale est absolument énorme et l'idée d'une autarcie ou d'un isolement n'a pas de sens. Par contre, certaines régions ont un commerce qui n'est pas très équilibré, par exemple l'Afrique a un commerce qui est beaucoup trop tourné vers le reste du monde et pas assez tourné vers l'intérieur de l'Afrique. Les colonisateurs ont développé beaucoup les régions côtières pour exporter les produits bruts vers le reste du monde et pas pour développer l'énorme marché interne qui supposerait des trains, des routes, des infrastructures intra-africaines qui sont clairement ce qui manque aujourd'hui.  Est-ce qu'un jour Lagos ou Abidjan, ou une autre grande ville africaine pourrait devenir le nouveau cœur commercial du monde ?  D'ici à 2050, c'est peu vraisemblable. Mais après 2050, les États-Unis auront beaucoup décliné. La Chine aura raté le coche et ne sera pas devenue la superpuissance mondiale. L'Inde sera potentiellement le lieu de la superpuissance et l'Afrique verra son tour venir avec des ports en Nigeria ou en Côte d'Ivoire qui sont certainement parmi les mieux placés en Afrique pour être des cœurs régionaux et absolument essentiels.   Face au problème de la dette, certains pays n'ont pas forcément la planche à billets américaine, est-ce inquiétant selon vous ?   C'est très inquiétant, surtout quand les termes de l'échange ne sont pas bons. On le voit dans beaucoup de pays africains, le cours des matières premières, en particulier agricoles, n'est pas bon, parce qu’ils n'ont pas obtenu la capacité de transformer ces matières premières sur place et que la transformation se fait ailleurs. Quand vous produisez des noix de cajou ou du cacao et que vous ne pouvez pas ou n'avez pas le droit de les transformer sur place, vous perdez l'essentiel de la valeur ajoutée de vos propres produits. Cela par la décision unilatérale des multinationales. C'est là je crois l'essentiel de ce qui se joue et qui est la cause de l'endettement de ces pays.  L'un des drames actuels de l'Afrique, ce sont les problèmes alimentaires au Sahel, en Afrique de l'Est. En 1979, vous avez participé à la création de l’ONG Action contre la faim. Quel bilan faites-vous de ces dernières décennies d’action humanitaire parfois remise en cause aujourd’hui sur le terrain ?  C'est difficile, mais l'action humanitaire ne doit pas être la solution. Moi, je rêve d'un monde où on aurait plus besoin d'Action contre la faim ou plus besoin des organisations humanitaires. Il y a eu pendant cette période d'énormes progrès agricoles qui ont été faits parfois d'une façon désordonnée, avec un usage excessif des engrais azotés qui seront reconnus bientôt comme nocifs et qu'il faudra certainement mettre à l’écart. D'autres ressources ont un potentiel extraordinaire comme l'alliance de nutriments intelligents et d'une capture du carbone qui va permettre à l'agriculture de servir à améliorer le climat en capturant le carbone et à augmenter sa rentabilité, son efficacité et sa productivité. Il y a encore aujourd'hui près d'un tiers de la population de la planète qui ne mange pas à sa faim.  Face à la crise climatique, l’Afrique doit-elle moins exploiter son pétrole, comme le demandent certains ?  Demandez à des pays qui ont l'énergie fossile ou qui la découvrent aujourd'hui de se passer d'une ressource extraordinaire alors que les pays développés ont tout fait pour l'utiliser et que c'est par leur faute qu'on se trouve dans cette situation. C’est à juste titre que les pays du Sud disent aux pays développés :  “écoutez, c'est vous qui avez créé le problème, ne nous demandez pas à nous de le résoudre”. Pour autant, on est sur une seule petite planète et même les pays qui ont des ressources en pétrole devraient comprendre que c'est dans leur intérêt de créer des conditions pour d'autres ressources énergétiques. Ces mêmes pays ont aussi accès à l'énergie éolienne et solaire, à toutes les formes d'énergies nouvelles qui vont être extraordinairement utiles et à des capacités de capture du carbone qui sont extrêmement positives pour le climat.   Comment faire pour développer les systèmes d’éducation en Afrique ? C’est l’un des enjeux majeurs, car il n’y a pratiquement pas d'éducation pour l'essentiel de la population africaine aujourd'hui, mis à part les classes moyennes supérieures et les élites financières. On est à une moyenne de 100 élèves par classe, et ça va encore augmenter avec la croissance démographique. Donc il est extrêmement urgent, si on veut éviter ce que j'appelle la barbarie de l'ignorance qui sera comblée par toute une série de sectes et d'intervenants de toute nature, de mettre beaucoup plus de moyens sur l'éducation primaire et l'éducation professionnelle tout au long de la vie. Cela vaut en Afrique mais aussi en Inde et en Amérique latine. Imaginez une planète où plus personne ne saurait lire et écrire, ça serait l'horreur totale. Donc il faut mener quatre combats en même temps : un combat pour le climat, un combat pour l'éducation, un combat pour la santé et un combat pour la démocratie.  Vous reprenez l'expression de « Sud global », un ensemble hétérogène de pays non alignés de pays en développement et de pays émergents, et vous dites que c'est un concept dangereux. Pourquoi ?  C'est un concept dangereux, en particulier pour tous les gens au Sud qui se battent risquent leur vie, et meurent pour les droits de l'Homme, la démocratie, les libertés. Mettre tous les pays du Sud dans le même sac contre les pays du Nord, c'est mettre des dictatures en avant au détriment des démocraties. Certes les démocraties des pays du Nord comme ceux des pays du Sud ne sont pas idéales, loin de là. La démocratie française ne l'est pas, la démocratie américaine peut-être encore moins. Les démocraties brésilienne, indienne ou nigériane non plus, avec des progrès remarquables par rapport aux systèmes antérieurs. Mais mettre tous les pays du Sud ensemble, c'est les mettre en fait sous l'ombrelle chinoise et russe qui ont tout intérêt à faire croire que le Sud est uni parce que ça leur permet de faire disparaître la grande question qui se joue en Ukraine et la bataille pour les libertés, les droits de l'homme et la démocratie. Pour les Africains, comment faire des affaires avec tout le monde sans être à nouveau soumis, comme au temps de la colonisation ? Travailler avec des Chinois, oui, mais aussi avec des Turcs, des Russes, des Français, des Américains, des Anglais. Il faut avoir la plus grande diversité possible de partenariats et aussi, ce qui est trop souvent oublié et négligé, des partenariats entre Africains. Le commerce intra-africain va être l'essentiel si l'Afrique veut réussir.    ► Retrouvez cet entretien en vidéo sur la chaîne Youtube de RFI.
    17.5.2023
    48:30
  • Gabriel Zucman: «La justice fiscale, un choix de politique publique»
    Invité exceptionnel dans Eco d’ici Eco d’ailleurs : l’économiste français Gabriel Zucman, récent lauréat de la médaille John Bates Clark. Cette récompense prestigieuse est décernée chaque année par l’American Economic Association à un (e) chercheur (e) de moins de 40 ans qui a apporté une contribution significative à la pensée et à la connaissance économique, des travaux originaux et influents. Dans l’histoire de ce prix, on retrouve de très grands noms, surtout des Américains, comme Milton Friedman, James Tobin, Joseph Stiglitz ou la franco-américaine Esther Duflo, devenue prix nobel d’économie, comme de nombreux membres de cette liste.   NOTRE INVITÉ : Gabriel Zucman, 36 ans, enseigne à l’université de Californie à Berkeley, professeur d’économie à l’Ecole Normale Supérieure et à Paris School of Economics où il dirige l’observatoire européen de la fiscalité.  Cette émission réalisée par Guillaume Munier nous mènera aussi au Tchad avec une interview du ministre des Finances, du Budget et des Comptes Publics Tahir Hamid Nguilin ; en Zambie après la tournée en Europe du président Hichilema ; en Turquie à l’occasion des élections sur fond d’inflation et au sein la stratégie de Google, géant américain du numérique qui tente de rattraper son retard dans le développement de l’intelligence artificielle.
    12.5.2023
    48:30
  • Mamadou Sinsy Coulibaly: au Mali, l’État ne fait rien pour les entreprises
    C’est un patron touche-à-tout et aux prises de position tranchées qui est venu dans les studios de RFI : Mamadou Sinsy Coulibaly, fondateur du groupe Kledu, présent dans de nombreux secteurs d’activité comme le commerce, les assurances, l’agriculture, l’élevage d’autruches, le tourisme, les services, la communication et les médias, qu’il s’agisse de la radio ou de bouquets de télévision avec le groupe Malivision.  Parfois présenté comme l’homme le plus riche du pays, il répond aux questions de Bruno Faure (RFI) et Julien Clémençot (Jeune Afrique). Libéral convaincu et fervent critique de la politique menée par la junte militaire au pouvoir au Mali, il dénonce un mauvais traitement infligé selon lui aux entreprises, les mauvaises conditions pour le commerce régional, une coopération inappropriée avec certains pays voisins. Mamadou Sinsy Coulibaly n’hésite pas à aborder les sujets les plus sensibles comme la lutte contre le terrorisme ou la corruption, l’un de ses principaux chevaux de bataille. Il en appelle à un rapprochement avec la France, tout en rejetant toute collaboration avec la Russie et d’autres pays qu’il considère totalitaires. Il dévoile enfin son affection pour le cinéma malien, à l’occasion de la remise par le Festival de Cannes du Carrosse d’or, prestigieuse récompense, à Souleymane Cissé.  LE PARCOURS DE NOTRE INVITÉ  Mamadou Sinsy Coulibaly (67 ans), est à la tête du groupe Kledu, du nom de sa mère. Ce conglomérat a employé jusqu’à 3.000 personnes, avant d’être mis en difficulté par la crise politique, sécuritaire et économique que traverse le Mali.   De 2015 à 2020, il a été président du Conseil national du patronat du Mali. L’aventure s’est mal terminée. En 2020, il a contesté la validité de l’élection emportée par Amadou Sankaré, affirmant avoir obtenu un second mandat. La crise a paralysé le patronat pendant près de deux ans jusqu’à l’élection à sa tête en 2022 de Mossadeck Bally, fondateur du groupe hôtelier Azalaï.  Ce parcours très riche a débuté par des études à Mopti et à Bamako avant un départ en France : des études de mécanique à l’Université de Jussieu, puis au Mans pour une école de commerce dans le secteur automobile. Dans les années 1970, Mamadou Sinsy Coulibaly a créé sa première entreprise pour assurer la sécurité d’un supermarché. Quand ce contrat n’est pas reconduit, il s’envole pour les États-Unis, où il va fonder une société de services funéraires à destination des diasporas africaines avant d’investir dans une compagnie aérienne reliant Miami à Haïti, puis de revenir définitivement au Mali en 1979 et fonder ensuite le groupe Kledu. Retrouvez-nous sur :       - Facebook - Twitter
    5.5.2023
    48:30
  • Intelligence artificielle, réalité virtuelle: la machine est lancée
    Éco d’ici Éco d’ailleurs vous emmène aujourd’hui dans des mondes parallèles : réalité virtuelle, réalité augmentée, réalité mixte, métavers, ces outils technologiques liés au développement de l’intelligence artificielle restent encore assez mystérieux aux yeux du grand public, mais intéressent de nombreuses entreprises, dans les services comme dans l’industrie. Dans le sillage de Microsoft, Google, Elon Musk et d’autres acteurs majeurs de la tech en Asie et en Europe, elles ne veulent pas rater le bon wagon. Nous débutons cette émission à Laval, petite ville de l’ouest de la France où se tient chaque année le Laval Virtual, rendez-vous des professionnels des technologies immersives. Comment l’économie peut tirer profit de ces techniques, pour améliorer les processus de production, la compréhension des sujets, faciliter les échanges au niveau international ? Et dans la seconde partie d’Éco d’ici, Éco d’ailleurs, nous interrogeons un spécialiste de l’intelligence artificielle pour en décrypter les enjeux, pour l’économie en général et pour le fonctionnement des entreprises en particulier. NOS INVITÉS : -     Alexandre Bouchet, directeur de Laval Virtual  -     Julien Castet, directeur de la recherche et du développement d’Immersion -     Pascal Montagnon, directeur de la Chaire de recherche digital, data sciences et intelligence artificielle du groupe OMNES Education, organisateur du sommet de l'intelligence artificielle, le 6 juin 2023, à Lyon (France). NOS REPORTAGES : On parle beaucoup de ChatGPT, comme générateur de réponses... ou de contenus farfelus. Mais les intelligences artificielles sont aussi une avancée technologique qui bouleverse les industries (de la création de contenu) du cinéma, de la télévision, de la musique et des médias. Thomas Harms s’est rendu au festival de l’innovation South By Southwest à Austin, où la thématique des IA a été disséquée sous toutes les coutures, notamment par ceux qui créent du contenu informatif.   L’un des enjeux autour de l’intelligence artificielle est aussi de former celles et ceux qui vont les développer. Lisa Giroldini, du service économie de RFI, s’est rendue à Aivancity Paris-Cachan, école spécialisée dans ce domaine.
    28.4.2023
    48:30

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Über Éco d'ici éco d'ailleurs

Chaque samedi, Bruno Faure ouvre les grands dossiers de l’actualité économique française, africaine et internationale. Avec les spécialistes du service Économie de RFI et les meilleurs experts, il identifie les lignes de force de la vie économique mondiale. La globalisation, l’émergence du continent africain, les mutations technologiques, les crises internationales, et leur impact sur les situations économiques locales et sur les populations sont au programme d’Éco d’Ici, Éco d’Ailleurs.

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