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  • CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 22/03/23
    MACRON PERSISTE ET SIGNE... EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter – « Le Monde » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l’Institut de sondage Elabe
    3/22/2023
    7:37
  • MACRON PERSISTE ET SIGNE... – 22/03/23
    EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter – « Le Monde » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l’Institut de sondage Elabe Après presque une semaine de crise depuis le recours du gouvernement au 49.3, et alors que les manifestations et les blocages se multiplient dans le pays, Emmanuel Macron s’est adressé ce mercredi aux Français lors d’une interview télévisée sur TF1 et France 2. Le chef de l’Etat qui ne veut ni dissolution, ni remaniement, ni référendum, entendait montrer qu’il tenait la barre, engagé sur un chemin dont la direction n’a pas changé. Il a ainsi réaffirmé la nécessité de sa réforme des retraites dont il souhaite l’entrée en vigueur "d'ici la fin de l'année" et s’est dit prêt à "endosser l’impopularité" pour la mettre en œuvre. Renouvelant sa confiance à Élisabeth Borne mais lui demandant d’"élargir" la majorité, le président de la République a par ailleurs regretté que les syndicats n’aient pas présenté de "proposition de compromis" sur le texte, soulignant que le gouvernement l’a fait, en revanche, "avec le Parlement". Mardi, au terme d’une journée d’intenses consultations, Emmanuel Macron avait appelé le gouvernement à "apaiser" et "écouter les colères", tout en assumant ses choix, selon des participants à une réunion avec les parlementaires de son camp dont certains sont très remontés après l'usage du 49.3. "La foule, quelle qu’elle soit, n’a pas de légitimité face au peuple qui s’exprime souverain à travers ses élus", avait-il également mis en garde. "Ce sont des propos qui clarifient" a expliqué ce mercredi le président lors de son interview. "On ne peut accepter ni les factieux, ni les factions" a-t-il aussi fait valoir alors que de nouveaux rassemblements ont été organisés hier soir dans plusieurs grandes villes françaises, théâtre pour certaines d’entre elles de tensions entre forces de l’ordre et manifestants. "Qu’il y ait des manifestations, c’est légitime. Ça a été fait de manière calme et organisé. Les violences il faut les condamner, les blocages, il faut les lever. On ne tolérera aucun débordement" a encore prévenu Emmanuel Macron à la veille d’une 9e journée de de grèves et de manifestations prévue ce jeudi 23 mars à l’appel de l’intersyndicale. Vu la gravité de la crise politique, le chef de l'Etat a par ailleurs annoncé le report de l’examen de la loi immigration au Sénat. "Nous allons réagencer les choses et découper les textes plus courts", a-t-il expliqué. Le président de la République a également dit souhaiter "réengager" le dialogue avec les partenaires sociaux sur les conditions de travail, pour entendre "ce besoin de justice" exprimé par les manifestants. Il a promis que la discussion concernerait notamment l’évolution des carrières ou la pénibilité, et se tiendrait "dans les prochaines semaines". Mais a-t-il convaincu ? Furieux, Laurent Berger n’a pas tardé à répondre sur Twitter, accusant Emmanuel Macron de "déni et de mensonge ! La CFDT a un projet de réforme des retraites. Macron 2019 l'avait compris, il avait repris notre ambition d'un système universel. Macron 2023 refait l'histoire et ment sur la CDFT pour masquer son incapacité à trouver une majorité pour voter sa réforme injuste" a écrit le leader du syndicat réformiste. Les propos d'Emmanuel Macron sont "du mépris pour les millions de personnes qui manifestent", a réagi de son côté Philippe Martinez. Le patron de la CGT a également fait part de son inquiétude. "Le président de la République est sûr tout seul de ce qu'il fait, et c'est grave", a-t-il déclaré sur France 2. Du côté de l’opposition, les réactions et les critiques n’ont également pas tardé. Le leader de la France insoumise a dénoncé les "traditionnelles marques de mépris" et "l'arrogance" d'Emmanuel Macron après son entretien télévisé, estimant que le chef de l'Etat "vit en dehors toute réalité". "La foule est au peuple ce que le cri est à la voix", a ajouté Jean-Luc Mélenchon en référence aux propos de la veille du président. Le premier secrétaire du Parti socialiste a lui aussi jugé avec sévérité l'interview du président de la République, estimant que celui-ci aggrave le mécontentement social. "C'est hallucinant, il est dans un déni absolu. Je crains qu'il n'ait mis plus d'explosifs sur un brasier déjà bien allumé", notamment en "disqualifiant les syndicats" a déclaré Olivier Faure depuis l'Assemblée nationale. Marine Tondelier, la secrétaire nationale d'EELV, s'est dit pour sa part sur Twitter "glacée par la démonstration d'autosatisfaction du président" qui, à ses yeux, a tenu des "propos offensants". Le député LR Aurélien Pradié, qui a croisé le fer avec le gouvernement sur la réforme des retraites, a de son côté accusé Emmanuel Macron de "jouer avec le feu". C'est "une provocation de plus", a-t-il affirmé. Alors que retenir de l’interview du président de la République ? Comment Elisabeth Borne peut-elle bâtir une "majorité élargie" ? Et que vont faire maintenant les syndicats ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
    3/22/2023
    1:03:05
  • CDLA L’INVITÉ – ALAIN BAUER – 22/03/23
    L’EUROPE EN GUERRE… POUR LONGTEMPS ALAIN BAUER Professeur au CNAM Responsable scientifique du pôle sécurité, défense, renseignement Auteur de “Au commencement était la guerre” Alain Bauer est professeur au Conservatoire national des arts et métiers, responsable scientifique du pôle sécurité, défense, renseignement. Et il publie aujourd’hui chez Fayard : “Au commencement était la guerre”, dans lequel il analyse les conséquences globales de la guerre en Ukraine allant de tout le système logistique de la nourriture qui a été touché, à Vladimir Poutine qui affame la population, attaque l’approvisionnement en électricité et en eau de l'Ukraine, déporte de force des millions de citoyens ukrainiens, pille les œuvres d’art en Ukraine… Le président chinois Xi Jinping a entamé ce lundi 20 mars une visite officielle de 3 jours à Moscou où il a été reçu par Vladimir Poutine. Au travers de cette visite, l’objectif de la Chine est de présenter son « plan de paix » en Ukraine, mais aussi de montrer le renforcement de la relation diplomatique entre les 2 pays. Cette rencontre est d’autant plus importante que, la semaine dernière, la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine pour « crime de guerre » en Ukraine. Le chef du Kremlin Poutine a salué “la volonté de la Chine de jouer un rôle constructif” en Ukraine et estime que « les relations russo-chinoises ont atteint le point culminant de leur histoire ». De son côté ce mardi, Xi Jinping a estimé que son déplacement répondait à une “logique historique”, car “nous sommes les plus grandes puissances voisines et des partenaires stratégiques à tous les niveaux”. Selon le porte-parole de la diplomatie ukrainienne, Oleg Nikolenko, peu après l'arrivée de Xi Jinping à Moscou, “l'Ukraine suit de près la visite du président chinois en Russie. Nous nous attendons à ce que Pékin utilise son influence sur Moscou pour qu'il mette fin à la guerre d'agression contre l'Ukraine”. Du côté des États-Unis, le secrétaire d'État Antony Blinken, a appelé "le monde à ne pas être dupe face à toute décision tactique de la Russie, soutenue par la Chine ou tout autre pays, de geler le conflit selon ses propres conditions". Dans la foulée de cette visite, Washington a d’ailleurs annoncé une nouvelle tranche d'aide, de 350 millions de dollars, et assuré Kiev de son soutien "aussi longtemps que nécessaire", et l’Union européenne entend augmenter fortement leur soutien militaire à l'Ukraine et a approuvé l’allocation de 2 milliards d’euros pour acheter et livrer des munitions d’artillerie à Kiev ainsi que la livraison d’un million d'obus et de missiles d'ici à un an. Alain Bauer, professeur au Conservatoire national des arts et métiers, responsable scientifique du pôle sécurité, défense, renseignement et auteur de “Au commencement était la guerre” chez Fayard reviendra sur les prémices de ce conflit sur le territoire ukrainien et sur le nouvel ordre mondial qui s’ouvre.
    3/22/2023
    12:23
  • CDLA - VOS QUESTIONS SMS – 21/03/23
    LA RÉFORME PASSE, LA COLÈRE MONTE EXPERTS JÉRÔME JAFFRÉ Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF NATHALIE SCHUCK Grand reporter – « Le Point » CAROLINE MICHEL-AGUIRRE Grand reporter au service politique - « L’Obs » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institu
    3/21/2023
    7:28
  • LA RÉFORME PASSE, LA COLÈRE MONTE – 21/03/23
    EXPERTS JÉRÔME JAFFRÉ Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF NATHALIE SCHUCK Grand reporter – « Le Point » CAROLINE MICHEL-AGUIRRE Grand reporter au service politique - « L’Obs » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages Auteur de « La France sous nos yeux » Le dossier des retraites est loin d'être clos. Au lendemain de l'adoption du texte au Parlement, consécutivement au rejet des deux motions de censure à l'Assemblée nationale, l'Elysée a annoncé que le chef de l'Etat, jusqu'ici resté très silencieux, donnera une interview à TF1 et France 2 ce mercredi 22 mars à 13 heures, en direct. Cette annonce intervient alors que le président de la République va consulter tous azimuts ce mardi. Il a reçu ce matin la Première ministre qui a échappé de peu la veille à un renversement de son gouvernement, avec le rejet à neuf voix près d'une motion de censure transpartisane à l'Assemblée. "Je suis déterminée à continuer à porter les transformations nécessaires à notre pays", a assuré lundi soir Elisabeth Borne, conviée à l'Elysée avec plusieurs membres du gouvernement et les chefs de la majorité. Emmanuel Macron a ensuite déjeuné avec Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, présidents de l'Assemblée et du Sénat, avant une réunion en soirée avec les parlementaires du camp présidentiel. Si les motions de censure ont été rejetées, les oppositions réclament toujours la démission de la Première ministre et le retrait du texte. Elles comptent notamment sur des recours devant le Conseil constitutionnel et ont soumis une demande de référendum d'initiative partagée (RIP), dont les Sages doivent examiner la recevabilité. Les opposants à la réforme appellent également à poursuivre la mobilisation dans la rue : la prochaine journée de grèves et de manifestation à l’appel de l’intersyndicale est prévue ce jeudi 23 mars. Mais d’ici là les rassemblements et blocages se poursuivent partout dans le pays. Hier soir, des rassemblements et des défilés ont eu lieu une nouvelles fois dans plusieurs villes, en particulier dans la capitale. Des poubelles ont été renversées et brûlées, des barricades et des fumigènes ont marqué certains des rassemblements. Mais alors que 287 interpellations ont été recensées dans le pays dont 234 à Paris, plusieurs vidéos de cette soirée diffusées sur les réseaux sociaux mettent en cause les forces de l’ordre et soulèvent la question de la stratégie du maintien de l’ordre adoptée. L’une d’elles fait particulièrement réagir. Filmée à Paris, elle montre un homme auquel un policier administre un coup de poing. La personne tombe au sol, mise KO. Et le policier s’éloigne. La députée Raquel Garrido (LFI) a demandé sur Twitter au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, d’arrêter le massacre. Son collègue Thomas Portes a fait part de sa "honte" de la police. Il a dénoncé par ailleurs le "silence radio" du ministre. Dans un communiqué, le Syndicat de la magistrature a déploré également la manière dont sont gérées les manifestations des derniers jours. "Des centaines d’interpellations et de mesures de garde à vue ont été décidées depuis jeudi dernier. La très grande majorité de ces mesures n’a reçu aucune suite judiciaire (à Paris, après la manifestation de jeudi place de la Concorde, sur 292 gardes à vue de manifestants, seules 9 ont donné lieu à des poursuites pénales)", écrit-il. "Nous avons vu ces scènes indignes d’une démocratie : des policiers exerçant des violences illégitimes contre des manifestants et des street medics (NDLR : des personnes effectuant des soins dans les manifestations), des interpellations collectives de manifestants enjoints de s’asseoir par dizaines à terre, mains sur la tête, des journalistes faisant leur métier menacés ou brutalisés", dénonce le syndicat. A l’opposé de ces prises de position, la préfecture de police de Paris a communiqué ce mardi matin sur sa satisfaction. Invité par la suite sur BFM TV, le préfet Laurent Nunez a justifié l’usage des nasses. Il a également indiqué que l’IGPN a été saisie dans l’affaire du coup de poing et que "toutes les investigations seront menées pour savoir si ce coup était adapté ou pas". Des images et une crise politique scrutées depuis plusieurs jours par la presse étrangère qui anticipe un avenir orageux pour les institutions françaises et une fin de mandat infernale pour Emmanuel Macron contre qui la "colère" est dirigée. Une colère, d’après le New York Times, qui "s'est intensifiée" après "le passage en force sur les réformes". Même tonalité dans le Süddeutsche Zeitung de Munich : "Le calme ne revient pas, la résistance ne s'arrête pas." Revenant sur le 49.3, le journal de Berlin Der Tagesspiegel évoque lui une "catastrophe politique". Quand en Espagne, où une autre réforme des retraites vient d’être validée mettant davantage à contribution les revenus les plus élevés et les entreprises, le quotidien madrilène El País estime que "le 49.3 menace d’empoisonner la vie politique et sociale pour des mois, sinon des années". "Macron s’est mis à dos la majorité du pays. Il a nourri la défiance envers les institutions et alimenté les accusations contre des dirigeants jugés déconnectés des réalités sociales." Alors comment gouverner après avoir échappé de neuf voix à la censure ? Que va-t-il se passer chez LR alors qu’un tiers des députés n’a pas suivi la ligne du parti édictée par Eric Ciotti ? Comment sortir de la crise politique ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
    3/21/2023
    1:04:03

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